On pense souvent que la généalogie est d’abord une affaire d’archives ou de vieux papiers. Pourtant, on néglige trop souvent, et à tort, les témoignages « vivants », ceux de nos parents, grands-parents, oncles et tantes et cousins…
En fait, questionner ses proches doit être la première étape de toute recherche. Pour ma part, je connaissais des bouts d’histoires que l’on m’avait racontées et j’en avais de vagues souvenirs. Retourner à la source était indispensable.
Questionner ses proches, c’est se donner toutes les chances de retrouver des indices indispensables à nos recherches, et on peut être quelque fois surpris des informations, notes ou documents en leur possession. Enfin, questionner ses proches, c’est également leur faire partager les résultats des recherches !
De mon côté, je n’hésite pas à faire cela en plusieurs fois. Cela permet d’éviter le côté « interrogatoire » que je n’aime pas trop infliger. L’avantage est de pouvoir poser de nouvelles questions, revenir sur des sujets « épineux » ou de laisser le temps à la personne de réfléchir ou de retrouver des documents ou photos.
Pas toujours facile en effet. Mon grand-père nous a simplifié la tache, il a rédigé ses mémoires.
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